
Je remercie toutes les personnes qui m’ont aidée dans les relectures. Dans le désordre : les proches, Marie-Noel Thurel, Marie-Christine Dubois, Colombe Chavet et Vinode avec ses remarques pertinentes, Valery Deniau avec son humour, Chantal Dubourg, Roseline Genty, Jean-Charles Batllo, Pauline Reig, Amaryllis Reig, Lucie Bekaert et Laly Flament, mes premières lectrices jeunesse et les inconnus que j’ai sollicités et qui ont répondu présent, compagnons d’atelier d’écriture, Barbara Drevet, qui est devenue proche en relecture sans que nous ne nous soyons jamais rencontrées, Gilbert Filloleau, Jeannes Flakes, Mélanie Richard, Isabelle Belledant. J’en ai surement oublié quelques-uns et je m’en excuse auprès d’eux. Votre relecture est prise en compte, je vous remercie. C’est plus un livre collectif qu’un livre personnel. Sans vous, il ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. Vous avez su aussi me rassurer.
Je remercie Isabelle qui m’a inspiré les deux prénoms principaux de cette histoire et Rachel, pour le prêt de son nom de famille.
Je remercie mes futurs lecteurs car sans eux, le livre n’a pas lieu d’exister.
Je remercie mes parents, dont les doutes sur mes capacités à écrire, ont développé chez moi l’envie de les contredire.
Je remercie aussi tous ceux qui m’ont aidé malgré eux, en vivant près de moi, en m’inspirant par leurs paroles et actions.
L’imprimerie du Noisetier, les éditions Acala qui m’ont fait confiance.
Je remercie le soleil et la pluie, l’été et l’hiver qui ont contribué à part égale, les uns en m’emmenant promener au grand air pour trouver l’inspiration, les autres me collant à ma table d’écriture, n’ayant rien d’autre de plus enthousiasmant à faire.
Beaucoup d’ateliers d’écriture m’ont formée à persévérer et je remercie spécialement le tout premier qui a déclenché cette histoire : celui dirigé par Cindy Ghis, invitée par Isabelle Servant. Puis j’ai suivi les master class : de Werber, le roi des fourmis et des chats, j’ai goûté celle de Delerm, celle d’Emmanuelle Soulard, de Jupiter Phaeton, de Cécile de « Fais-en un livre », l’atelier Bloom de Florence Servan-Schreiber et ceux d’Antoine Mouton et de Pabloramix et Martial en présentiel.
J’ai souvent été inspirée par les thèmes de concours et cela m’a guidée à écrire des nouvelles et des contes qui probablement constitueront un recueil un jour.
Voilà, un livre ne s’écrit pas seul, en tout cas pas celui-là et c’est bien de le dire.
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