Magnolia en fleur

V’là le printemps ! V’là l’joli temps !
V’là l’bon temps ma mie m’appelle
V’là l’bon temps v’là l’joli temps
V’là l’bon temps ma mie m’attend.

Bonjour Printemps !

 

Ta Daaa ! Le printemps est là ! Avec ses colliers de fleurs, sa joie de vivre, son pétillement, sa couronne de soleil ou sa chevelure de pluie selon le temps… Sentez-vous venir l’envie de vous dégourdir les jambes, de vous secouer, de sortir d’hibernation, de danser, de sautiller, de retrouver les copains, les copines, de créer un monde nouveau ?

Mon actualité

Je suis en train de peaufiner « les ailes d’Iris » (ou les ailes de l’amour), la « suite » des ailes d’Éléa et de terminer « Après l’effondrement », une novella, plus grande qu’une nouvelle, plus court qu’un roman.
D’ailleurs, à ce propos, je recherche des relecteurs. si vous vous sentez l’âme d’un découvreur, d’un traqueur de fautes, d’un chercheur d’incohérence, d’un insufflateur d’idées, j’ai besoin de vous. Je n’oublierai pas de noter votre nom en fin de l’ouvrage.

Je réponds encore parfois à des appels à texte par des nouvelles, ou j’écris encore quelques biographies (voir mon site écrivain biographe) et je viens de découvrir l’art postal, ou l’art de décorer les enveloppes, un art ancestral à expérimenter (je me suis rendu compte que j’en avais fait sans le savoir, comme Mr Jourdain.)

Il est encore temps d’acheter un exemplaire des « Ailes d’Eléa » dans votre librairie préférée, à Mazères, Foix, Pamiers, Mirepoix ! Je vais bientôt aller rechercher mes livres pour avoir du stock pour les prochains salons prévus :

  • Salon du livre solidaire de la Tour du Crieu, le 6 mai
  • Celui de Sainte-Colombe sur l’Hers, le dimanche 21 mai (à confirmer)
  • Salon au marché Emmaüs de Castelnaudary, le 8 juin
  • Mirenpage, salon du livre de Mirepoix, le 9 juillet (à confirmer).

 
Je me suis inscrite à la formation Voltaire pour apprendre et réviser les règles de signification, grammaire, orthographe, conjugaison, homonymes… C’est très intéressant et parfois perturbant ce que l’on apprend. Par exemple, une lettre exprès, prémisses ou prémices,… Le mois prochain je passerai le certificat.

Pour celles et ceux qui veulent participer à la diffusion du livre « Les ailes d’Éléa », plusieurs possibilités s’offrent à vous, d’émettre un avis sur Amazon, ou sur Babelio, ou encore me le faire parvenir en répondant à cette newsletter que vous pouvez aussi partager. Je vous en remercie.

 Rubrique mot nouveau

Épicène

  1. Qui désigne aussi bien le mâle que la femelle d’une espèce (exemple : les « chevaux » qui regroupent étalons, juments et poulains, les grenouilles, les « enfants » terme qui inclut aussi bien les filles que les garçons…).
  2. Dont la forme ne varie pas selon le genre.

« Habile » est un adjectif épicène.

Un nom « épicène » n’est par définition ni masculin ni féminin. Certains noms de métier sont épicènes comme journaliste, architecte, fonctionnaire, et juge qui s’emploient indifféremment avec la ou le, ou « la police », expression qui regroupe les policiers et les policières. Des noms de peuples sont épicènes comme les Apaches, les Slovaques, les Russes et les Basques…
Exemple : adulte, gens, etc. et pour les adjectifs (aimable, dynamique, habile, etc.).
À vous d’en trouver d’autres.

Un prénom épicène est un prénom mixte dont l’orthographe est identique quel que soit le genre de la personne qui le porte : CamilleClaude ou Dominique sont des prénoms épicènes

Rubrique lecture

L’Ami Arménien de Andreï Makine,
conseillé par le club lecture. 

Résumé :
Le narrateur se souvient de ses treize ans, lorsqu’il vivait dans un orphelinat en Sibérie. En cette année 1973, il s’était lié d’amitié avec un adolescent, Vardan, dont la maturité et la fragilité déclenchaient les persécutions de ses congénères. Cet ami habitait le « Bout du Diable », un misérable quartier de laissés-pour-compte. S’y était établie une petite communauté arménienne, venue du Caucase soutenir des proches arrêtés pour subversion…

Mon sentiment :
Je ne l’ai pas assez apprécié en raison de la nécessité de le lire vite pour en laisser l’accès à d’autres, mais l’ensemble du club lecture l’a plutôt apprécié.

Points positifs :
Un jeune personnage sort du lot par son comportement bienveillant envers tous, avec des actions dignes d’un enseignant spirituel.
Le royaume d’Arménie évoqué dans des détails de toute beauté alors même qu’il est transposé hors de son contexte.

Les abeilles grises de Andréï Kourkov 

Résumé :
Un printemps, Sergueïtch, apiculteur de profession, entreprend de déplacer temporairement ses ruches vers un endroit plus calme. Tractant sa remorque au volant de sa vieille voiture, le voilà lancé dans un périple qui le mènera, à travers les riantes prairies d’Ukraine, jusqu’aux montagnes de Crimée.

Mon impression :
Quelle plume, quelle humanité, quelle poésie, quelle philosophie de vie brillent dans ce recueil ! Je l’ai dégusté, me suis adaptée au rythme lent du livre et j’ai eu envie de rester aux côtés du narrateur !

Les points positifs :
Personnage tranquille qui vit sa vie malgré le décor de guerre
Connaissance des abeilles
vie de village entente mésentente
Relations aux gens

Citations : (J’ai eu du mal à n’en choisir qu’une, beaucoup me parlaient) :
Le troisième jour de mars, le soleil se mit à jouer des rayons comme on joue des muscles. Dans les champs, au-delà du potager, des tâches de terre noire commençaient à s’étendre, de s’extraire de la neige fondante, de redresser les épaules.

p172
 Sergueïtch sentit naître en lui un étrange sentiment : celui d’évoluer à l’intérieur d’un film. Rien autour de lui n’était vrai, tout avait été filmé à l’avance, comme un documentaire, lui seul était vivant et ne figurait pas sur la pellicule.
Il secoue la tête pour chasser cette impression absurde et soudain, une autre idée, pire que la précédente, le frappa douloureusement. Celle d’avoir laissé son réveil chez lui. La veille au soir, il l’avait remonté, mais ne l’avait pas emporté. Par conséquent, demain ou après-demain, il allait s’arrêter, s’éteindre et il n’y aurait plus dans la maison de temps qui vivent jusqu’à ce que son propriétaire revienne, jusqu’à ce qu’il le remonte à nouveau. Peut-être Pachka s’en chargerait-il ? Non, jamais il n’y penserait tout seul. L’important pour lui, c’était de rayer les jours écoulés sur le calendrier, les heures il s’en fichait…
 C’était bête de s’inquiéter ainsi du temps. Le temps ne joue un rôle que là où quelqu’un le surveille et dépend de lui. S’il ne reste personne dans ce cas, le temps se fige, disparaît.

Vivance de David Lopez 

Résumé :
C’est l’histoire d’un homme qui a perdu son chat lors d’une inondation. Il part à sa recherche à vélo et fait des rencontres, dont celle de Noël, un vieux. Une relation étrange se crée entre eux, faite de rivalité et de respect, voire d’amour.

Mon impression :
J’ai été prise par ce récit, alors qu’il parle de vélo et je suis loin d’être une amatrice de cyclo, j’ai aimé ces évocations des différents types de relation avec le chat, les humains, les femmes, avec Noël, un personnage et aussi avec les objets notamment un miroir. 
Idée clé : Chacun cherche son chat ou plutôt chacun cherche quelque chose, sans savoir quoi.

Points positifs :
à la fin on revient à l’histoire du chat après plein d’errances
relation avec le chat très bien décrite
l’ethnologie des relations

La Reine Élisabeth II de Isabelle Rivère
biographie reçu en cadeau de Noël

Résumé :
À vingt-six ans, Élisabeth a fait le choix d’entrer en monarchie, comme d’autres entrent en religion, reléguant pour toujours aux oubliettes ses aspirations personnelles et la relative normalité de sa vie d’« avant ».
Ce livre comporte de nombreuses anecdotes sur Elizabeth et la famille royale, ses parents, sa sœur Margaret, son époux, et donne l’impression de saisir sur le vif la femme derrière la souveraine.

Idée principale :
La reine mère n’aspirait qu’à vivre à la campagne avec ses chevaux et ses chiens.

Mon impression :
J’ai découvert des tas de faits incroyables sur la vie d’une reine, notamment la longue liste de cadeaux reçus pour son mariage, dont un cheval de course par l’Aga Khan, des centaines de bas de soie, et une pièce de tissu qu’avait filé le Mahatma Gandhi lui-même ! d’autre part, j’ai découvert les cadeaux de valeur offerts par la France à chacune de ses visites !
Je ne me suis pas ennuyée à cette lecture, rendue vivante par l’autrice.

 Rubrique astuces santé et beauté au naturel

 

C’est un autre sujet qui me passionne et peut-être cela pourrait vous intéresser aussi, c’est pourquoi je me lance. Voici l’idée qui a germé… normal, c’est le printemps… 

Le soin par les abeilles
Les abeilles produisent des trésors de santé depuis des millénaires.

L’apithérapie est l’utilisation thérapeutique des produits de la ruche, miel, pollen, propolis, gelée royale et cire, pour le bien-être et la beauté. 

Il paraît que c’était LE secret de Cléopâtre :

Miel pour l’hydratation et la cicatrisation, (de mon côté, je l’utilise sur les brûlures)

Gelée Royale pour ses pouvoirs réparateurs et anti-âge, (en cure anti-fatigue)

 Pollen pour renforcer ongles et cheveux (ou pour le plaisir, c’est tellement bon !)

Propolis pour ses vertus purifiantes (et pour soigner les maux de l’hiver)

L’apithérapie est ainsi “une médecine douce” offerte par les abeilles, pour prendre soin de soi au naturel. 

À savoir : Le venin d’abeille possède un véritable potentiel analgésique et anti-inflammatoire !
Une cuillère de miel correspond au travail d’une vie d’une seule abeille ! Impressionnant, non ?! On ne déguste plus le miel de la même façon, pas vrai ?

La pollinisation

Les abeilles sont un élément indispensable dans la chaîne alimentaire, car, à elles seules, elles assurent 80 % de la pollinisation dans le monde et contribuent donc à la reproduction des plantes à fleurs dont dépendent nos ressources alimentaires.

 

Nouveauté : Se relaxer grâce aux abeilles

Dans le livre « les abeilles grises » de Kourkov, on découvre une nouvelle possibilité !

Le bourdonnement de ces petites bêtes aurait des vertus insoupçonnées. S’allonger sur une ruche bien hermétique permettrait de retrouver la forme, de réduire le stress par les micro-vibrations émises par les battements d’ailes des abeilles qui agiraient notamment sur les tensions musculaires. Même s’il n’existe aucune donnée médicale à ce propose pour l’instant. Le bourdonnement, ajouté à l’odeur de pollen et de propolis, aiderait à la relaxation. Cette méthode de soin vient des pays de l’Est. Elle est peu connue en France.

Rubrique animaux

 

Chatmage à Shambo

Dimanche, mon petit chat est mort. Il avait 15 ans, l’allure d’un ado, un beau poil luisant noir de corbeau et un petit col de chemise blanc, des canines acérées et des griffes peu rétractiles. Je lui rends chatmage. Je ne voulais pas lui rendre hommage, ce n’était pas un homme. Quoiqu’il en avait l’intelligence.

Laissez-moi vous raconter son histoire. Il était né non désiré dans une famille d’humains mal intentionnés, le proprio voulait l’éliminer d’un coup de carabine. C’était comme ça à la campagne, en avait-il fait de même aux autres chatons de la portée, je ne saurais l’affirmer… toujours est-il que celui-là, il n’arrivait pas à l’attraper. Ce chaton, qui n’avait pas encore de nom, se planquait sous le canapé et partait d’un côté quand on le voulait de l’autre, ingéniosité qu’il a toujours gardé d’ailleurs : l’art de tourner habilement autour des meubles, pour qu’on ne puisse pas l’attraper ! On le pardonne aisément, vu que c’était certainement grâce à ça qu’il est resté en vie. De ce départ dans la vie, il en a gardé une certaine appréhension des hommes et de leur voix grave qui gronde et râle, mais bon, je le comprends, moi aussi je me planque dans ces cas là…

Nous l’avions choisi pour sa peur des humains, on espérait ainsi qu’il survive sans se faire piéger, cela a marché. Il n’est pas resté craintif de nous bien longtemps, il nous a vite apprivoisés et nous sommes devenus très câlins et très familiers avec lui.

Quand il est arrivé dans nos vies, Pauline avait 9 ans et Amaryllis 14. Il a toujours été considéré comme le chat de Pauline, parce qu’il était né le même mois qu’elle et il courrait allègrement à sa rencontre quand elle arrivait de l’école et jusqu’à il y a peu quand elle revenait le week-end. Plus tard, quand un poster ne lui plaisait pas dans la chambre de ma fille, à sa période chevaux et boys band, il l’ôtait, c’était comme ça et pas autrement.

C’est un chat qui aimait grandement jouer aux jeux de société, notamment à Pièges, ce jeu où l’on doit faire tomber des billes dans les trous en manipulant des tirettes (d’ailleurs c’était toujours lui qui gagnait !), Alpha nature et aux Petits Chevaux, même s’il avait sa façon bien à lui de jouer. 

Il aimait nous accompagner en balade et était génial pour monter aux arbres jusqu’au jour où, ayant grimpé comme à son habitude, ces griffes ont grincé toute la descente le long du poteau métallique qu’il avait pris pour un feuillu.

Grand observateur, il n’a pas mis longtemps à découvrir comment on ouvrait les portes et il s’étirait jusqu’à poser les pattes sur la poignée, ouvrait ainsi la porte d’entrée, mais pas seulement…

Il ouvrait lui-même les paquets de croquettes et les sachets de nourriture. Il n’était pas du genre passif à se laisser servir, il agissait. Intérieurement, je l’appelais « mon gentleman cambrioleur ». Quand j’ai déménagé dans ma maison actuelle, il a rapidement compris le système coulissant de la baie vitrée bien qu’elle soit bien lourde. Seulement, il oubliait de la refermer une fois entré.

Il a vécu avec nous quinze ans, s’adaptant à deux déménagements, à deux compagnons et plein de nouveaux amis à poil comme lui. À un moment, il avait même gardé notre appart pour lui tout seul, c’est dire s’il était indépendant.

Shambo nous accueillait toujours avec un enthousiasme galopant et sa voix inharmonieuse comme un miaulement éraillé. Il se mettait dans le sillage avant, tel un dauphin ou un poisson-pilote, à notre retour en voiture. Si je fermais la porte arrière de la maison et qu’il savait que je partais, il faisait le tour à toute vitesse et se faufilait dans mes pattes (sic) afin d’entrer. Il était un bon chatseur, attrapait oiseaux et grenouilles, dommage pour eux, mais qui n’a pas son petit défaut ? C’était l’un des rares chats que je connaisse qui aimait bien la pluie, il demandait à sortir chaque fois qu’il faisait des gouttes.

Il n’était pas très assidu pour faire sa toilette, mais c’était normal, il n’avait pas été élevé par sa maman et tout petit, il avait été pris en charge par des chattes maternelles adoptives comme Carotte et Tara qui se faisaient un plaisir de s’occuper de ce chat mal léché.

Souvent, il aimait me regarder, observateur attentif, lorsque je faisais la cuisine, installé sur le haut tabouret de bar, il m’accompagnait du regard, suivant le moindre de mes gestes, approuvant discrètement mes préparations et nul doute, qu’il aurait mis la main à la patte si je lui en avais donné l’occasion.

Voilà c’était un beau chat, mais loin d’être un chatbot. Nous l’avions appelé Shambo, en souvenir de sa belle chevelure noire. Je découvre maintenant que Shambo signifie apparemment celui qui dispense la félicité et la joie et c’était vrai. Il nous tendait sa tête pour quémander des bisous et ce n’était pas difficile de lui en donner, car il était de composition si agréable. Ce n’était pas un chat loupé, mais il avait parfois cette belle démarche de panthère qui roule des mécaniques.

« J’aurai l’air d’avoir mal… j’aurai un peu l’air de mourir. C’est comme ça.

Tu auras de la peine. J’aurai l’air d’être mort et ce ne sera pas vrai…

Tu comprends. C’est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là. C’est trop lourd.

Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée. Ce n’est pas triste les vieilles écorces…

Il demeura un instant immobile. Il ne cria pas. Il tomba doucement comme tombe un arbre.

Ça ne fit même pas de bruit, à cause du sable. »

Le Petit Prince de Saint-Exupéry

 

Il est à présent revenu dans le grand tout. Si les chats ont 7 vies, celui-là peut revenir nous rendre visite, nous l’accueillerons avec plaisir.

Je ne sais pourquoi les seules chansons qui me sont venues à son départ sont : « Le coq est mort, le coq est mort. » et « Quand sonnera-t-on la mort du sonneur ? » Il était l’ami vivant de mes filles. Notre chat Shambo, accueilli depuis tout petit, est parti.

Je vous souhaite tout le bien du monde à vous et à tous vos amis de tous poils, qui parfois passent plus de temps près de nous que nos compagnons à deux pieds.

Prenez soin de vous, prenez soin d’eux.

Son histoire, comme tant d’autres, valait la peine d’être vécue, d’être racontée. Il est un petit peu devenu immortel puisque je l’ai un peu pris comme héros de mon livre « les ailes  d’Éléa »…

Je suis certaine que vous en avez autant à dire sur vos propres animaux. Racontez-nous sa petite qualité, son petit défaut, son péché mignon, sa grande habileté. Vos chats, chiens, canaris et poissons rouges ont chacun leur personnalité. 

Longue vie à Tara, sa consœur du même âge, et à tous vos amis à poils, plumes et écailles.

« Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. »

Le Petit Prince de Saint-Exupéry

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Joyeux Printemps à tous !

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